A Jil Jadid, nous savions, bien avant le début de la conférence de presse donnée le 17 décembre 2019 par le chef du parti, Sofiane Djilali, que nous n’allions pas échapper à certaines critiques malveillantes. En effet, répondre à la «main tendue» au Hirak par un Président très mal élu et que le peuple algérien – dans presque son ensemble – considère, à juste titre, comme illégitime, ne pouvait pas être facilement admis. Nous savions que cela ne pouvait pas être facilement accepté par ceux qui continuent à occuper l’espace public, les rues et les grands boulevards de toutes les villes algériennes, et dont nous faisons pourtant partie, et cela depuis bien avant le 22 février et le début de la Révolution du sourire.
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